Lecture de Michael Heller et Pascal Poyet – Atelier Michael Woolworth
Lecture de Michael Heller et Pascal Poyet – Atelier Michael Woolworth Œuvres de Michael Heller Du 4 février au 7 mai 2017 Lecture de textes le 23 mars 2017 à partir de 19h Entrée libre Atelier Michael Woolworth |
Du 4 février au 7 mai 2017
Dans le cadre de l’expostion « Encore sous pression » et à l’occasion de la publication de Dans le signe de Michael Heller traduit par Hélène Aji, Jean-Paul Auxeméry, Anne Mounic et Pascal Poyet aux éditions Grèges, double change et Atelier Michael Woolworth vous invitent à une lecture de Michael Heller et Pascal Poyet. Michael Heller est né le 11 mai 1937. Poète, mais aussi essayiste et critique, il vit et enseigne à New York. Spécialiste reconnu des poètes dits Objectivistes, il a entretenu avec George Oppen et Carl Rakosi en particulier des relations suivies et publié “Conviction’s Net of Branches : Essays on the Objectivist Poets and Poetry” en 1985, étude critique qui a reçu le Di Castagnola Prize from the Poetry Society of America. Michael Heller a en outre reçu de nombreux prix tout au long de sa carrière, tels que le NEH Poet/Scholar grant, New York Foundation for the Arts Fellowship (NYFA), National Endowment for the Humanities award, et The Fund for Poetry. Michael Heller a, depuis le début de son travail, été proche des mouvements d’avant-garde, suivant tout autant les représentants de la poésie d’après-Holocauste que les novateurs tels que Williams et Pound, sans s’interdire pour autant des rapprochements avec les mouvements européens tels que surréalisme et structuralisme, ou avec des individualités marquantes (Lorca, Rilke ou Mallarmé), avec lesquelles il entretient un dialogue de nature poétologique. Cherchant, pour l’essentiel, dans son travail poétique à conjoindre matière personnelle et souci historique général, il aborde des thèmes tels que la nature du langage, de la poésie, de la religion et de la mémoire.Pascal Poyet a écrit et enregistré Draguer l’évidence (Éric Pesty éditeur, 2011), écrit Linéature (Éric Pesty éditeur, 2012), Un sens facétieux (CIPM, 2012), Au Compère (Le bleu du ciel, 2005), Causes cavalières (L’Attente, 2000-2011), traduit Peter Gizzi : Revival (CIPM, 2003), David Antin : Je n’ai jamais su quelle heure il était et Accorder (Héros-Limite, 2008 et 2012), Lisa Robertson : Cinéma du présent (Théâtre Typographique, 2015), des textes de Rosmarie Waldrop, John Baldessari, Charles Olson, Miles Champion, Lisa Jarnot, Rachel Levitsky, Uljana Wolf… ; et, avec l’artiste Françoise Goria, réalise des « lectures écrans performés » (… Je digitalise comme un fou, 2014, Toute la ville en parle, 2015-2017, Un supplément d’aventure, 2016…) et codirige les éditions contrat maint. [© communiqué de presse] |
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