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Thalys – Emilie Dequenne marraine

16 avril 2010
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emilie_dequenne

Thalys_-_Emilie_Dequenne::

« . … Aux Pays-Bas, chaque naissance est une fête : Thalys International est très heureux de ce baptême qui l’honore ! », déclarait Béatrice Pâques, directrice commerciale de Thalys
.
Cette tulipe est une belle aventure pour Thalys. Voyez un peu ce  long parcours pour la tulipe « Thalys » et son créateur, l’horticulteur néerlandais Hans Kneppers…

Floraisons après floraisons, croisements, tests de beauté et épreuves de résistance s’enchaînent : d’année en année, le bulbe est amélioré pour arriver au résultat parfait en termes de jugement esthétique, d’espérance de vie du bulbe, d’endurance face au climat, de solidité de la croissance. « Thalys » a traversé toutes ces étapes avant de montrer ses premiers pétales définitifs ce printemps au sein même du célèbre parc floral. Une petite quantité de tulipes Thalys écloses sera disponible au printemps 2010 au sein du parc Keukenhof sur un parterre dédié et accessible aux visiteurs des célèbres jardins. Quelque 15 000 bulbes de cette tulipe seront disponibles pour l’automne 2010 (pour une floraison en 2011).

Prénommée « Thalys » par les équipes du célèbre parc floral de Keukenhof aux Pays-Bas, cette création exclusive rend hommage à la métamorphose de Thalys engagée depuis 2008 et presque achevée, mais aussi à l’attachement des Néerlandais pour ces Thalys rouge qui relient leur pays à Paris en moins de 3h15.

Keukenhof réserve notamment une surprise aux  clients de Thalys : un petit sac de bulbes d’été  leur est offert sur simple présentation d’un titre de transport Thalys au bureau d’information situé près de l’entrée principale.

Le parc de Keukenhof est accessible depuis Schiphol (avec le bus 58), qui est desservie par Thalys en 3h02 seulement depuis Paris, au rythme de 8 allers-retours quotidiens dès lundi 12 avril (depuis le 13 décembre dernier et jusque-là, 7 allers-retours quotidiens).

Emilie_DequenneA propos d’Emilie Dequenne

Fille d’un entrepreneur en menuiserie, Emilie Dequenne prend dès l’âge de 8 ans des cours de comédie. Bachelière à 16 ans, elle suit des études de sciences politiques, tout en rêvant de cinéma et de théâtre. Grâce à sa tante, qui a repéré l’annonce dans un journal, elle se rend au casting de Rosetta, un film de Luc et Jean-Pierre Dardenne. Presque aussi déterminée que le personnage, elle décroche, face à 2 000 concurrentes, le rôle-titre, celui d’une jeune femme, mi-petit soldat mi-petit chaperon rouge, prête à tout pour obtenir puis conserver un emploi.

Le conte de fées ne s’arrête pas là, puisque sa performance lui vaut en 1999 un Prix d’interprétation au Festival de Cannes. Dès son deuxième long métrage en 2001, Emilie Dequenne change totalement de registre en incarnant l’héritière Marianne de Morangias dans le film d’aventure Le Pacte des loups, superproduction en costumes signée Christophe Gans. Jeune fille complexée face à Jugnot dans Oui, mais, elle campe pour Claude Berri une femme de ménage qui illumine le quotidien du bougon Bacri (2002).

Pleine de fraîcheur, l’actrice, loin de l’univers âpre des Dardenne, s’illustre désormais dans la comédie (Mariées mais pas trop) et joue volontiers les séductrices (L’Equipier, mélodrame de Philippe Lioret en 2004), voire les mangeuses d’hommes (Avant qu’il ne soit trop tard). En 2005, on la retrouve à l’affiche de deux films d’époque, la fresque Le Pont du roi Saint-Louis et l’intimiste La Ravisseuse d’Antoine Santana. Passant avec aisance du classicisme du Grand Meaulnes (2006) à la fantaisie des Etats-Unis d’Albert (id.), Emilie Dequenne s’essaie en 2007 au thriller avec Ecoute le temps et goûte, aux côtés de Sandrine Kiberlain et Denis Podalydès, à La Vie d’artiste de Marc Fitoussi. On la retrouve également chez André Téchiné pour qui elle joue en 2009 La Fille du RER, l’histoire d’un mensonge devenu l’un des faits divers les plus médiatisés.

Elle joue en ce moment au Petit Montparnasse la pièce Alexandra David Neel, Mon Tibet de Michel Langliney et on la retrouvera en juin au cinéma dans le film « La meute » de Franck Richard.

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