0 Shares 1678 Views

Je suis en retard mais j’ai mes raisons – avec Marika Camilleri – Théâtre de la Contrescarpe

4 septembre 2017
1678 Vues
Marika - Contrescarpe
Je suis en retard mais j’ai mes raisons – avec Marika Camilleri – Théâtre de la Contrescarpe

De Marika Camilleri et Alexandre Coquoin

Mise en scène de Paul Boujenah

Avec Marika Camilleri

Du 21 septembre 2017 au 29 décembre 2017

Tarifs :de 10€ à 26€

Réservation par tél. au 01 42 01 81 88

Théâtre de la Contrescarpe
5, rue Blainville
75005 Paris
M° Place Monge

www.theatredelacontrescarpe.fr

Du 21 septembre 2017 au 29 décembre 2017

Victoria, comédienne, mère de famille dévouée et fantasque, est toujours à l’heure… Mais, pas aujourd’hui. Avec son premier spectacle, Marika nous entraîne dans son univers original et sensible, avec une pointe d’humour et de folie !

“Il était une fois, il était deux fois, il était plein de fois… Il y a une Marika, il y a deux Marika, il y a plein de Marika…Elle est à la fois son passé, son présent et son futur…Marika c’est l’énergie, la tendresse,le doute, la volonté et avant tout l’envie de vous raconter ses histoires.Elle a 3 vies par jour, elle vous raconte, elle se raconte avec l’émerveillement de la première fois.Elle veut tout faire bien et elle fait tout bien. Marika est une merveilleuse conteuse, elle fait danser les mots… C’est une comédienne du voyage de sa vie, elle vous emporte dès le premier mot. Elle sait rendre passionnante la lecture d’un mode d’emploi comme d’une contravention.Des petits événements de la vie de tous les jours, elle en fait autant d’aventures où l’on peut se reconnaître.Marika est une et mille à la fois ;la Shéhérazade du quotidien.Ce sont toutes ces raisons qui m’ont donné envie de travailler avec elle afin de faire naître un spectacle où le rire et l’émotion forment un couple magique…Tout cela avec une chaise,un imperméable et son visage aux 1.000 expressions. Une conteuse est née, quelle chance pour nous !”

Quelques mots de l’artiste…
Je suis Marika et je suis ravie de vous rencontrer ! Après avoir exercé différents métiers dans la production de films et dans l’événementiel, j’ai travaillé dans la mode pour enfants.Puis j’ai grandi et me suis formée au théâtre. Après un passage au Cours Florent, je me forme à l’école Place au Palace chez Patricia Solot Icer. Au fil des rencontres, j’obtiens mon premier rôle au théâtre dans la pièce Born to Be in Live, de Mily Neau,q ue l’on joue, mes camarades et moi pendant3 ans à l’Auguste Théâtre et au Théâtre du Gymnase.Je pousse aussi parfois la porte des studios pour poser ma voix sur des documentaires, ou des séries, comme par exemple Les chemins de l’école diffusée sur France 5.J’aimerais faire plus ample connaissance avec vous mais j’ai le repas sans gluten de mon mari à préparer et Mimi à emmener au foot…On s’appelle ?

[source : © dossier de presse]

Articles liés

Kareen Guiock Thuram, Stacey Kent, Shani Diluka… le Festival Jazz à Saint-Germain des Prés revient dès le 13 mai !
Agenda
32 vues

Kareen Guiock Thuram, Stacey Kent, Shani Diluka… le Festival Jazz à Saint-Germain des Prés revient dès le 13 mai !

Le Festival Jazz à Saint-Germain-des-Prés Paris, emblème musical du printemps parisien, célèbre sa 23e édition avec une programmation d’exception. Des artistes renommés, tels que Stacey Kent et Shani Diluka, enflammeront les scènes de la Rive gauche, offrant un spectacle...

“SPOT24” : l’exposition olympique qui mélange sport et culture urbaine
Agenda
553 vues

“SPOT24” : l’exposition olympique qui mélange sport et culture urbaine

Du 3 avril au 31 décembre 2024, cette exposition met en lumière le skateboard, l’escalade sportive, le BMX freestyle, le surf, le basketball 3X3 et le breaking et le lien qu’elles entretiennent avec les cultures urbaines. Signée par François...

“Amal, un esprit libre” : quand même la fiction ne peut pas avoir de happy ending
Cinéma
57 vues

“Amal, un esprit libre” : quand même la fiction ne peut pas avoir de happy ending

  En salle, mercredi 17 avril, est sorti “Amal, un esprit libre”. Mettant en scène une professeure belge dans un lycée laïque, le film résonne de manière inquiétante avec “Pas de vagues” et “La Salle des profs”, sortis au cinéma...