Michelangelo Pistoletto – Année 1, le paradis sur terre – musée du Louvre
L’exposition intitulée « Année 1, le paradis sur terre » marque le passage dans une nouvelle ère, celle d’une métamorphose humaine, sociale, culturelle, fêtée dans le monde entier y compris sur l’esplanade de la cour Napoléon, le 21 décembre dernier. Elle s’incarne dans différentes temporalités :
- le passé dans sa forme rétrospective ;
- le présent à travers les œuvres miroirs où se reflètent les visiteurs ;
- le futur dans l’avènement d’un grand obélisque surmonté d’une triple boucle, symbole de cette révolution en marche.
Le signe du « troisième paradis » orne ainsi la pyramide.
Les œuvres historiques de l’artiste font écho aux peintures italiennes, à la statuaire romaine et grecque. D’autres créations plus récentes, miroirs et installations, mènent le spectateur de la salle des Sept- Cheminées à la cour Marly, en passant par le Louvre médiéval. La spiritualité, la figuration, le décloisonnement des pratiques, la solidarité, la fusion de la vie et de l’art, sont autant de thématiques représentatives de la pensée de l’artiste, fondateur de Cittadellarte.
Michelangelo Pistoletto – Année 1, le paradis sur terre
Du 25 avril au 2 septembre 2013
Tous les jours de 9h à 18h, sauf le mardi
Nocturnes : mercredi et vendredi jusqu’à 21h45
Accès avec le billet d’entrée au musée : 11 €
Musée du Louvre
75001 Paris
M° Palais-Royal – Musée du Louvre
Articles liés

« Notre Dame de Paris » un spectacle merveilleux pour les fêtes
La belle Egyptienne Esmeralda, le bossu Quasimodo, le diabolique Frollo et le rayonnant Phœbus, tous les héros du roman de Victor Hugo se retrouvent sur le plateau de l’Opéra Bastille, avec la foule parisienne, dans des costumes d’Yves Saint-Laurent,...

Orelsan et “Yoroï” : un nouvel art de se raconter
Avec Yoroï, Orelsan dépasse la musique pour façonner un univers cinématographique dense et personnel. L’artiste brouille les frontières entre fiction et réalité pour mieux se réinventer. Un tournant qui redéfinit sa place dans la culture contemporaine. Un peu plus...

“Détail d’un vase grec à figures rouges”, du théâtre déconstruit à l’Athénée
Ce spectacle n’est pas un spectacle. Ou peut-être que si ? En tout cas, ce n’est pas un spectacle. Inscrits avec humour dans une démarche de déconstruction de la représentation théâtrale, Flavien Bellec, Étienne Blanc, Clémence Boissé et Solal Forte...





