10ème édition de Vision’R – Festival VJ nomade

Le 30 mai, 10 et 13 juin 2015

Vision’R VJ Festival, rendez-vous international de l’image live et des réseaux VJ, offre un cadre mouvant aux performances audiovisuelles in situ. Vision’R produit et diffuse des formes d’expressions éphémères mêlant image, son, scène/lieu, et publics. 

Les performances VJ, fulgurances intenses et temporalités incarnées, explorent les expressions audiovisuelles live hors théâtralité des productions esthétisées en forme spectacle.

10 ans d’images live, d’expériences éphémères d’intensités en mouvement, de traversées d’histoires personnelles et collectives, d’archives vivantes, de simulacres révélateurs, de spectres revigorants, de traces du futur, d’images incorporées, de corporéités émancipatrices… Cette année, Vision’R se développera à travers les notions de post-identité, de déconstruction queer et de pensée sensible.

Le festival se déplacera dans 3 villes: Nancy le 19 juin, Berlin le 27 et Paris, ce 30 mai et 10 et 13 juin.
A Paris, le festival sera présent dans 4 lieux: la MJC Paris-Mercoeur, le Petit Bain, la Gare XP et le Jardin d’Alice.

Dans chacun de ces lieux, plusieurs installations ou performances sont à voir.

La séléction d’Artistik Rezo

Vous pourrez, par exemple, avoir l’occasion d’assister au concert de Darwin Live Cinema à la MJC Paris-Mercoeur le 30 mai.

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L’occasion aussi d’observer les talents de Servovalve au Petit Bain: il oscille entre abstractions sonores, hallucinations infographiques, recherches aléatoires, expérimentations cyber-électroniques et design minimaliste. « Un écran actif » qui explore de façon chaotique le langage de programmation numérique pour créer des hypertextures, une synthèse expérimentale entre le son, l’animation et le texte ».

Ou encore une performance audiovisuelle sur les bugs par T’es In T’es Bat au Jardin d’Alice le 13 juin. Il s’agit d’explorer la relation que nous établissons avec eux. En effet, nous avons tous l’occasion d’expérimenter les «bugs» informatiques. Ils sont vécus le plus souvent comme un dysfonctionnement. Notre propos sera de démontrer que ces «bugs» sont effectivement des erreurs mais aussi des espaces où les machines s’expriment elles-mêmes. Des espaces où les machines ne répondent plus à nos commandes. Des espaces où les machines affirment leur liberté et leur créativité.

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[source du texte et crédit visuel : communiqué de presse]