12ème Festival International du Cinéma Iranien en Exil – Centre Culturel La Clef
12eme Festival International du Cinéma Iranien en Exil - Centre Culturel La Clef::
| 12ème Festival International du Cinéma Iranien en Exil
Du 22 au 25 mai 2014 Pour plus d’information: 01 42 17 45 55 Cinéma du Centre Culturel La Clef |
Du 22 au 25 mai 2014
Dans ce festival: Films courts, longs, inédits, fiction, documentaires et débats. Films primés de Festiv’art Limoges et Tribeca film festival. Programme du Festival Cérémonie d’ouverture par le directeur du festival. – Projection de courts : Exécutions en Iran (Iran), Rapport d’Amnesty International. Résistance française, Violences faites aux femmes (France), 2 filmsdeJoseph Akrami (Canada) : Arrêtez de tuer les réfugiés iraniens et The Purple Time, Procès de Moslem Mansouri (USA). – Musique afghane et égyptienne par Ali Faizi et égyptienne par Hossein el AZAB suivi d’un verre de l’amitié et de l’espoir. Le vendredi 23 mai à 19h – Reprise des courts : Exécutions en Iran (Iran), Rapport d’Amnesty International, Résistance française, Violences faites aux femmes (France), 2 films de Joseph Akrami (Canada) : Arrêtez de tuer les réfugiés iraniens et The Purple Time. Procès de Moslem Mansouri, fondateur du cinéma souterrain en Iran.
à 20h30 – La danse du soleil interdite de Lila Ghobadi 32’ /2008, en persan sous titré en français (Canada) Après la révolution de 79, et la mise en place de la république Islamique d’Iran, la danse a été bannie, tout comme d’autres formes d’art. Beaucoup d’artistes qui avaient participé à la révolution luttèrent contre les censeurs et les lois du régime Islamique. Ils furent exécutés, emprisonnés ou même forcés de s’exiler. Aram Bayat fut une de ces artistes. Elle est une des seuls chorégraphes exilés qui a gardé vivante la danse folklorique iranienne durant ces deux dernières décennies. – Génération rebelle : dernier film de Moslem Mansouri 46’ 2014, en persan sous-titré en anglais (USA). – Le film « Génération rebelle » est centré sur les jeunes iraniens d’aujourd’hui qui avaient participé dans le pays à un mouvement social, et par conséquent ont été obligés de quitter l’Iran pour chercher l’asile politique en Occident. Le film porte aussi un regard sur la révolution de 1979 en Iran et les massacres des années 80, quand avec l’aide des Etats-Unis et les gouvernements occidentaux, Khomeiny a pris la direction de la révolution du peuple et a détruit les principes de la révolution dans les intérêts du capitalisme mondial. Mais, malgré tout cela, la guerre du peuple contre le régime persiste. Les revendications et les désirs de la révolution de 79 sont restés vivants. Mansouri a fait de la génération rebelle – 2013 génération rebelle – un nouveau documentaire fait indépendamment, gagnant du meilleur prix pour un documentaire. Le samedi 24 mai à 16h – Infini Soit-il, de Eduardo Lamora/Ernesto Lamora, documentaire 83’ espagnole sous titré en français (cubano- norvégien). Aborde les derniers mois de la vie de mon frère Benjamin, membre du Parti Communiste Cubain. Et comme toile de fond ce film est une chronique intime ponctuée par les doutes politiques et existentiels de mon frère tiraillé entre les principes anticléricaux du Parti Communiste qu’il a toujours soutenus et la transcendance après la mort. à 18h30 – Carte blanche à notre partenaire « Festiv’Art », Films primé au 13e Festival de cinéma de Limoges. – La Larme du Bourreau, de Layth Abdulamir (OROK Films), 2012, France, Documentaire, 27′. La peine de mort perdure dans certains pays. Ashmawi, le bourreau d’Egypte, est convaincu d’être « la main de Dieu sur Terre », un professionnel minutieux du meurtre légal. Les condamnés, quant à eux, témoignent de leur souffrance et de l’insoutenable attente de la mort.
à 20h30 – L’aventure est un secret- Immigration de Pierre LINGUANOTTO 2013, France, Documentaire, 67’ français sous-titré en anglais. – Une manifestation, une banderole. Une silhouette, vue de dos, franchit une ligne blanche et dirige le trajet des manifestants. Fodé se retourne, montre son visage, nous regarde et sourit : quand se cacher ou se montrer, prend un tour décisif dans le cours d’une vie. Le dimanche 25 mai à 14h – 12 films courts Vidéo ou clips proposés par les cinéastes iraniens, 55’ en persan ou en persan sous titrés en francais – Le film « Génération rebelle » est centré sur les jeunes iraniens d’aujourd’hui qui avaient participé dans le pays à un mouvement social, et par conséquent ont été obligés de quitter l’Iran pour chercher l’asile politique en occident. Le film porte aussi un regard sur la révolution de 1979 en Iran et les massacres des années 80, quand avec l’aide des Etats-Unis et les gouvernements occidentaux, Khomeiny a pris la direction de la révolution du peuple et a détruit les principes de la révolution dans les intérêts du capitalisme mondial. Malgré tout cela, la guerre du peuple contre le régime persiste. Les revendications et les désirs de la révolution de 79 sont restés vivants. Mansouri a fait de la génération rebelle – 2013 génération rebelle – un nouveau documentaire fait indépendamment, gagnant du meilleur prix pour un documentaire. à 16h 2 films de Arman Nadjm Rencontre/débat avec le réalisateur Arman Nadjm – Terreur à Berlin documentaire, 70’ Persan, sous titré en anglais, (Les assassinats de quatre dirigeants du Parti Démocratique du Kurdistan d’Iran) 2010 invité (Allemagne). Le 17 septembre 1992, un groupe armé a tué, sur l’ordre des dirigeants iraniens, quatre opposants au régime islamique, dans un restaurant berlinois appelé Mykonos. Après trois ans et demi de procès, le tribunal supérieur de Berlin a condamné, en avril 1997, quatre inculpés pour ce meurtre. Le verdict précise clairement que l’attentat a été commandité par le chef religieux Seyyed Ali khamenei, l’ancien président Ali Akbar Hashemi Rafsanjani, le ministre des affaires étrangères de l’époque Ali Akbar Welayati, ainsi que le chef des services secrets Ali Fllahian. Dans ce film, un témoin rescapé de l’attentat, (Parviz Dastmalchi ) explique les motivations politiques de cette terreur et revient sur son propre vécu. – La folie de Roudabeh, les funérailles de Mohammad MOKHTARI poète -écrivain iranien assassiné par le régime des ayatollahs (sous KHATAMI président réformateur)! Depuis 1979 les droits de l’homme sont bafoués en Iran. Des milliers d’intellectuels, écrivains, journalistes et étudiants ont été arrêtés, maltraités, torturés, exécutés ou assassinés. Cette spirale de violence continue à l’heure actuelle. à 18h30 La séance est organisée par des militantes féministes Iraniennes, avec la projection de : Notre AZAR. Une courte biographie d’Azar Derakhshan femme combattante, de Syros MAHAN et Massoud RAOUF, 40’ en persan suivie d’un débat avec les militantes féministes Iraniennes, traduction simultanée à 20h30 Clôture du festival : musique afghane par Ali Faizi et égyptienne par Hossein el AZAB, suivie d’un verre de l’amitié et de l’espoir et un buffet iranien. Visuel: Art en exil // Film Proces |
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– Proces, fiction documentaire, persan, sous-titré français, (USA).
– Tziganes, le génocide oublié, de Alexandra Robin, 2012, France, Documentaire, 13’30. En France, de 1940 à 1946, de nombreuses familles ont été internées au seul motif qu’elles étaient gitanes. Ils ont été des milliers à être emprisonnés, exécutés, gazés. Ces faits demeurent un véritable génocide oublié. Il n’y a pas d’acteurs, seulement des souvenirs de quelques survivants…



