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Carlos Cruz-Diaz. Circonstances et Ambiguïté de la Couleur – Fondation Vasarely

4 août 2014
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Carlos Cruz-Diaz. Circonstances et Ambiguïté de la Couleur

Du 26 juin au 10 septembre 2014
Du mardi au dimanche inclus, de 10h à 13h et de 14h à 18h

Entrée : 9 €
Tarif réduit : 6 €

Fondation Vasarely
1 Avenue Marcel Pagnol
13090 Aix-en-Provence

fondationvasarely.fr

Du 26 juin au 10 septembre 2014

Circonstance et Ambiguïté de la Couleur met en évidence la proposition de l’artiste: la couleur autonome comme une réalité éphémère et évolutive, dépourvue de symbole.

Après avoir été présentée à plusieurs reprises sur le continent asiatique, en Espagne et en Amérique latine, elle est présentée pour la première fois en France à la Fondation Vasarely.

Venez (re) découvrir le pouvoir instable, éphémère et fascinant de la couleur, grâce aux œuvres de ce représentant majeur de l’art optique et cinétique.

Réunissant sept des huit recherches que Carlos Cruz-Diez a menées sur la couleur au cours de ses 60 ans de carrière, cette exposition développe un parcours permettant d’expérimenter, mais aussi de comprendre comment l’artiste a révolutionné la notion de couleur dans l’art.

A titre exceptionnel, la Fondation Vasarely présentera une Chromosaturation extérieur. Cette œuvre, l’une des plus rares, est l’aboutissement de toutes les recherches commencées par l’artiste en 1959; La première des ces œuvres a été présenté en 1969 à la sortie du métro Odéon à Paris.

« Pourquoi une exposition d’œuvres éphémères? Toute exposition d’art est, en principe, une manifestation éphémère. Mes propositions cinétiques ont changé la dialectique entre le spectateur et l’œuvre, mettant en évidence des notions de temps, d’espace, d’instabilité, de mutation, ainsi que le caractère éphémère de nos relations avec l’univers et les choses plus simples qui nous entourent. C’est pour cela que j’ai structuré une exposition d’œuvres éphémères, dans l’objectif de souligner que le fait de réaliser une exposition est aussi un fait temporel. Au final, comme dans un concert, ce qui nous reste c’est le souvenir des vécus dialectiques et parfois peut-être un catalogue commémoratif. »

Carlos Cruz-Diez / Paris 1999

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