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Inna Modja – Motel Bamako : l’Afrique 2.0 ! – Institut du Monde Arabe

19 avril 2017
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Inna Modja portraitDR

Motel Bamako : l’Afrique 2.0 !

Avec Inna Modja

Plein tarif : 26€
Tarif réduit : 22€
Jeunes -26 ans : 12€

Réservation en ligne ou par tél au 01 40 51 38 14

Institut du Monde Arabe
1, Rue des Fossés Saint-Bernard
75005 Paris
M° Jussieu

www.imarabe.org

Samedi 13 mai 2017

Le troisième album d’Inna Modja est un voyage entre les racines de son enfance – le Rail Band de Salif Keita – et les vibrations d’aujourd’hui, enivrantes, entraînantes, irrésistibles. Pour réaliser ce projet, elle a été escortée de prestigieux acolytes : Stephen Budd (Damon Albarn), Oxmo Puccino, Cheick Tidiane Seck, Krazy Bald Head (Ed Banger)…

En français, en anglais ou en bambara, Inna écrit, compose et chante les rencontres, les joies, les douleurs. Artiste multiforme, elle réalise elle-même ses clips et ses disques, a joué la comédie au Grand Journal ou au cinéma et posé pour les plus grands magazines (Vanity Fair, Elle…). Après l’énorme succès de French Cancan (2011), elle poursuit ses explorations sonores et musicales. Sur scène, c’est un tourbillon de délicatesse, de soul, de sensualité… Craquante, assurément !

Dans le cadre de 6 événements autour de la sexualité

De la représentation du corps à l’initiation aux plaisirs de la chair, des amours impossibles au tabou de l’homosexualité, le sexe, dans le monde arabe, est caché, réprimé ou, au contraire, exalté. À travers des rencontres, spectacles et ciné-débats, l’Institut du monde arabe propose d’étudier la sexualité sous toutes ses coutures et dans toutes ses expressions.

Une voix qui témoigne des combats d’une femme malienne libre

Inna Modja, de son vrai nom Inna Bocoum, est une chanteuse, mannequin et actrice malienne née en 1984 à Bamako au Mali. Modja signifie « mauvais » en peul et vient du surnom que lui donnait sa mère. Sur son troisième et nouvel album, Motel Bamako, elle chante principalement en bambara mais aussi en anglais et français, sur l’amour, les blessures de la guerre, l’image de la femme.

Sur ce disque encore plus engagé que les précédents, elle invite les femmes maliennes à se faire entendre, à « retirer le foulard devant leur bouche ». Elle milite contre les violences faites aux femmes, elle-même ayant été victime de l’excision.

[© communiqué de presse]

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