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Exposition – Mapping at last – Galerie Eric Mouchet

18 janvier 2017
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Capture decran 2017-01-18 a 15.28.26

Mapping at last

Œuvres d’Émilie Akli, Benoît Billotte, Maxime Bondu, Armelle Caron, Pierre Chevron, Rémi Dal Negro, Julien Discrit, Juliette Feck, Bérénice Lefebvre, Thierry Liegeois, Florent Morellet, Golnaz Payani et Capucine Vever.

Du 4 février au 25 mars 2017

Vernissage le 4 février à partir de 16h 

Galerie Eric Mouchet
45, rue Jacob
75006 Paris
M°Saint-Germain-des-Prés

ericmouchet.com

Capture decran 2017-01-18 a 15.28.26 copieDu 4 février au 25 mars 2017

La Galerie Eric Mouchet est heureuse de présenter l’exposition collective ‘‘Mapping At Last’’, sous le commissariat de Léo Marin.

‘‘Mapping At Last’’ est une exposition qui rassemble une douzaine d’artistes, toutes générations confondues, qui intègrent la notion cartographique et/ou le relevé topographique dans leur processus créatif. 
Les cartes ainsi produites deviennent alors celles d’un monde qui leur appartient, paysage fantasmé, voyage inachevé ou transcription imagée d’un relevé qui n’obéit plus au dictat de l’espace et du temps. Ce n’est plus un espace localisé que les artistes choisissent de représenter, mais la compilation d’un souvenir collectif, les vibrations ressenties d’un voyage…

L’artiste cartographe : quelques notations généralistes en marge de l’exposition « Mapping at Last » par Paul Ardenne:

« L’intérêt de nombre d’artistes pour les cartes géographiques, nullement négligeable au tournant du XXIe siècle, dessine le portrait d’un artiste « cartographe ». Celui-ci n’est pas d’abord un voyageur ou, s’il l’est, il n’omet jamais de consulter la carte avant départ, ou à son retour – pour la travailler, la reconfigurer.
La perspective de l’artiste « cartographe » ? Elle n’est en rien, on le pressent, celle du cartographe conventionnel, géographe de formation et de discipline. Elle est celle, plutôt, d’un topographe arpenteur ou non des territoires du réel, mais d’un genre, de manière invariable, très spécifique : le genre correcteur.

Mon corps comme carte
Quelles que soient ses visées, esthétisantes ou nées du désir de mieux cerner un périmètre géographique concret, l’art « cartographique » fait état d’une articulation féconde entre artiste et territoire. Jusqu’à cette évidence : la cartographie que l’artiste dessine ou redessine, toujours, est celle de son moi, de son corps – un autoportrait.
De l’art « cartographique » à l’art « géographique », il y a cependant un grand pas, non toujours franchi par l’artiste. S’ils jouent avec les cartes ou en conçoivent à leur manière contournée, bien des artistes plasticiens ne témoignent en revanche nulle attention particulière au paysage réel, dont ils ne font pas un « objet d’art ». Bien d’autres, en revanche, oui, qui prennent l’habitude de travailler hors atelier et en dehors des espaces d’art, au cœur du monde. Des artistes, à leur manière et cette fois, géographes, passés dans ce cas de la représentation du territoire à sa pénétration. Pour une toute autre histoire de l’art, comme on l’imagine. »

A découvrir sur Artistik Rezo :
– Vernissages – Paris – Février

[Source texte et visuel: communiqué de presse]

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