0 Shares 1689 Views

Exposition Valerie Jeansen Boitel – galerie Virginie Barrou Planquart

27 février 2017
1689 Vues
Exposition Valerie Jeansen Boitel - galerie Virginie Barrou Planquart

Exposition Valerie Jeansen Boitel

Vernissage le samedi 4 mars à 15h

Exposition Valerie Jeansen Boitel

Du mercredi au dimanche de 14h à 18h

Vernissage le samedi 4 mars à 15h

Galerie Virginie Barrou Planquart
4 rue des guillemites
75004 Paris
M° Hôtel de Ville

www.galeriebarrouplanquart.com

Du 2 au 12 mars 2017

S’intéressant au statut de la femme et de l’enfant au sein de la famille ou de la société, Valérie Jeansen Boitel dépeint des portraits vibratiles, intimes et insondables d’anonymes.

Enfants, adolescentes, jeunes mariées ou mères de famille, ses personnages évoluent dans un monde muet et intemporel. Vibrantes de couleurs franches à peine diluées, les oeuvres sont emplies d’énergies vitales. Leur écriture, soignée mais parsemée de tâches ou d’empreintes impulsives, est sensible et sauvage, saisissante d’humanité.

A l’occasion de cette exposition, Valérie Jeansen Boitel dévoile pour la première fois les oeuvres à quatre mains qu’elle crée avec le Street artist Siker sous le pseudo Dval&Siker.

De l’inguerissable enfance d’ici, toujours déjà emplie d’elle même, jusqu’aux enfances d’ailleurs se déploie le parcours d’art et de vie de Valérie Jeansen Boitel. Naguerre au dedans, et nageuse d’ïle humaine en ïle humaine, elle s’appuie maintenant sur la mémoire innombrable des murs de la cité.
Ses corps tendus d’abandon et de précarité se font talismans doux et cruels de chair et de partage. La réalité humaine se fait communautaire, et le visage terriblement singulier, éparse comme une tache vitale, prend des allures de masque universel.

Valérie Jeansen Boitel reste et restera fidèle à l’écriture sauvage de la défiguration, quand les arrachements de la peau découvrent les secrets de l’intime dans les profondes passerelles de l’enfance. Mais elle se pose sur la peau des villes. Elle expérimente ses pouvoirs. Peu de couleurs mais fortes, à peine diluées dans le presque rien des lointains du visage. Et des gestes qui osent. Art souple et tendu, vif et décapant, saisissant d’humanité. Elle vagabonde dans les désordres du sens et dans le labyrinthe des villes. Ses traversées et ses transparences disent les confins de la fragilité. Christian Noorbergen

A découvrir sur Artistik Rezo :
– Vernissages – Paris – Mars

[© communiqué de presse / Visuel : Valerie Jeansen Boitel © galerie Virginie Barrou Planquart]

Articles liés

Dans le cadre du Festival Off Avignon, “Elle ne m’a rien dit” traite le féminicide
Agenda
77 vues

Dans le cadre du Festival Off Avignon, “Elle ne m’a rien dit” traite le féminicide

Ce spectacle est né de la rencontre entre Hager Sehili et Hakim Djaziri, auteur et metteur en scène de la pièce. Elle ne m’a rien dit furent les premiers mots qu’Hager a confié au metteur scène en parlant de...

Dans le cadre du Festival Off Avignon, “Le Cabaret de Carolina” présente l’art de l’humour musical
Agenda
74 vues

Dans le cadre du Festival Off Avignon, “Le Cabaret de Carolina” présente l’art de l’humour musical

Artiste multifacette, Carolina est tout à la fois chanteuse, comédienne et animatrice. Mais, c’est dans la chanson et le spectacle vivant qu’elle atteint son plaisir paroxystique. De concert en concert, elle a développé un répertoire populaire qui touche toutes...

Dans le cadre de Festival Off Avignon, Pierre Notte présente “J’ai raté ma vie de tapin en voulant faire l’acteur”
Agenda
101 vues

Dans le cadre de Festival Off Avignon, Pierre Notte présente “J’ai raté ma vie de tapin en voulant faire l’acteur”

“Il s’agit d’un récit, ou d’une confession, comme une ultime part dévoilée, la plus sensible et terrible, la plus vraie de toutes. La prostitution, les métiers d’acteur, d’auteur, les prostitués et ceux qui les emploient, ce paradigme (ou protocole)...