Un exposition bestiale à Le Pari(s) Urbain
Bestiaires Artistes : C215, Stew, Levalet, Stix, Sack, LapinThur, Théo Lopez Artist, Olivia De Bona, Moyoshi, Suriani, Doudou Style et guest Du 22 janvier au 14 février 2015 Vernissage le 22 Janvier 2015 de 18h30 à 21h30 Entrée libre Le Pari(s) Urbain www.leparisurbain.com |
Du 22 janvier au 14 février 2015
La galerie Le Pari(s) Urbain organise une exposition collective regroupant les œuvres de onze artistes du street art : C215, Stew, Levalet, Stix, Sack, LapinThur, Théo Lopez Artist, Olivia De Bona, Moyoshi, Suriani, Doudou Style et guest. De la tapisserie de Bayeux au Street-Art, il n’y a qu’un pas. Si aujourd’hui le bestiaire ne célèbre plus le divin et que nous célébrons chez les animaux une part de notre humanité, nous vous proposons à travers « Bestiaires », un voyage pluriel et éclectique du règne animal. Chaque artiste s’est emparé de cette thématique avec sa sensibilité, son regard et son imaginaire. C215 y reprend sa thématique féline aux couleurs chamarrées. Stew y affirme celle des oiseaux en revisitant le pochoir quelque part entre l’estampe et la gravure. Levalet peuple le mobilier urbain d’animaux en liberté qui se réapproprient la ville. Depuis leur atelier, Le Terrier, Olivia de Bona, Theo Lopez et LapinThur convoquent peinture, illustration et dessin par leurs techniques mixtes. Ces 3 artistes appartenant au collectif 9ème Concept ont su créer un imaginaire proche de la fantaisie et du conte. Entre l’acrylique et le feutre, Moyoshi n’a jamais eu à choisir. Ses animaux multiformes touchent au folklore. Stix et Sack, eux, se font moins figuratifs avec un univers aux couleurs bien marquées et des références à tiroir qui se télescopent et s’enchevêtrent. Quant à Suriani, il s’est attaqué au collage et revisite la thématique du bestiaire sous cet angle. Doudou Style a pris pour postulat de revisiter la thématique du panda, peluche câline aux couleurs bonbon. » Direction Artistique : Amine Bouziane et Stefano Incollingo A découvrir sur Artisitik Rezo : [Source texte : Amine Bouziane] |
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