Beauté congo, Congo Kitoko – Fondation Cartier
Beauté congo, Congo Kitoko Du 11 juillet au 10 janvier 2015 Nocturne le mardi jusqu’à 22h Tous les jours à 18h visite guidée de l’exposition avec le billet d’entrée Fermeture le lundi Tarifs : de 0€ à 10,50€ Réservation en ligne Fondation Cartier |
Du 11 juillet au 10 janvier 2015
Théâtre d’une extraordinaire vitalité culturelle, la République démocratique du Congo est mise à l’honneur dans l’exposition Beauté Congo – 1926-2015 – Congo Kitoko présentée à la Fondation Cartier pour l’art contemporain avec André Magnin, commissaire général.
La peinture moderne au Congo dans les années 1920 Prenant pour point de départ la naissance de la peinture moderne au Congo dans les années 1920, cette exposition audacieuse retrace près d’un siècle de production artistique congolaise. Si la peinture est au coeur de l’exposition, la musique, la sculpture, la photographie et la bande dessinée y ont aussi leur place et offrent au public l’opportunité unique de découvrir la diversité et la vivacité de la scène artistique de ce pays. Les artistes précurseurs Dès la fin des années 1920, alors que le Congo est encore une colonie belge, les artistes « précurseurs » Albert et Antoinette Lubaki et Djilatendo livrent les premières oeuvres sur papier connues, écrivant ainsi les prémices de l’histoire de l’art moderne congolais. Souvent figuratives, parfois abstraites, leurs oeuvres traitent avec poésie de thèmes liés à la nature, à la vie quotidienne, aux fables locales et aux rêves. Après la Seconde Guerre mondiale, le Français Pierre Romain-Desfossés s’installe à Élisabethville et fonde l’Atelier du Hangar. Au sein de cette école de peinture qui restera ouverte jusqu’à la mort de son créateur en 1954, les artistes Bela Sara, Mwenze Kibwanga et Pili Pili Mulongoy apprennent à laisser libre cours à leur imagination et créent, dans des styles propres d’une étonnante inventivité, des oeuvres lumineuses et jubilatoires. Les artistes populaires Vingt ans plus tard, l’exposition Art partout présentée à Kinshasa (1978) révèle au grand public de nombreux artistes se proclamant « artistes populaires ». Papa Mfumu’eto a lui aussi exploré la vie quotidienne et les combats ordinaires dans ses créations prolifiques de bande dessinée dont la diffusion a connu un franc succès à Kinshasa dans les années 1990. Un courant que perpétuent aujourd’hui de jeunes artistes connectés à l’actualité mondiale comme J.-P. Mika ou Monsengo Shula.
[source du texte et crédit visuel : communiqué de presse] |
Articles liés
Marie Desroles débarque avec son One Woman Show “C’est que de l’amour” au Théâtre des Mathurins !
Dans un monde où l’amour semble rare, Marie Desroles offre plus qu’un simple stand-up : une bulle d’humanité. Son spectacle, sincère et percutant, aborde des sujets délicats avec autant de fermeté que de douceur. … parce que dans ce...
Morgane Imbeaud annonce la sortie de son nouvel album “The Lake” et dévoile un second single “Seule”
Morgane Imbeaud, ex membre du duo à succès COCOON avec qui elle a vendu plus de 300 000 exemplaires en deux albums, revient à ses premiers amours… une pop teintée folk toute en douceur, co-écrite et co-composée avec le...
“Au creux de mon silence” : une comédie-danse au Théâtre des Mathurins à découvrir jusqu’au 20 juin !
Dans un monde tumultueux où les mots se perdent dans le vacarme, nous découvrons un havre de paix dans les mouvements gracieux de la danse. “Au cœur de mon silence” n’est pas simplement un spectacle, c’est un récit de...