Exposition Chefs-d’oeuvre d’Afrique – Musée Dapper, Paris – 2016 – Art Africain
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Exposition Chefs-d’oeuvre d’Afrique – Musée Dapper, Paris Œuvres d’Arts d’Afrique Jusqu’au 17 juin 2017 De 11 h à 19 h, sauf le Mardi et le Jeudi Musée Dapper |
 Jusqu’au 17 juin 2017
Des oeuvres figurant parmi les plus importantes au monde réunies pour la première fois. Remarquables par leur esthétique, elles témoignent des grandes cultures de l’Afrique. Un hommage au Fondateur Humaniste, Michel Leveau a quitté ce monde en novembre 2012 après avoir rempli la mission qu’il avait initiée il y a un peu plus de trente ans en créant la Fondation Dapper. Esthète, mais guidé par la rigueur scientifique, il s’était attaché à acquérir pour son institution des oeuvres exceptionnelles. Certaines d’entre elles avaient appartenu auparavant à de grands noms qui ont marqué la reconnaissance des arts non occidentaux, Charles Ratton, Paul Guillaume, Jacob Epstein… Une collection d’exception Le fonds du musée Dapper se caractérise par la diversité des provenances géographiques et par l’ancienneté. L’exposition, qui comprend quelque 130 pièces, présente des oeuvres majeures. Certaines sont uniques et n’ont aucun équivalent dans le monde, telles des sculptures du Gabon (Fang, Kota, Punu…), du Cameroun (Bangwa), du Bénin (Fon), ou encore du Mali (Dogon, Soninke). Attendu depuis des années par le public, Chefs-d’oeuvre d’Afrique permettra aux visiteurs de découvrir des pièces maîtresses qui puisent leurs significations dans les cultures de l’Afrique centrale ou dans celles de l’Afrique de l’Ouest. Les oeuvres racontent la vie Les pièces exposées ont été sélectionnées en raison de leurs qualités plastiques, mais aussi pour les rôles qu’elles assurent dans les sociétés qui les ont vues naître. En effet, masques, statues, statuettes, autels, parures, armes et bien d’autres artefacts sont liés à des pratiques et des savoirs spécifiques. Leurs fonctions sont multiples. Certains objets étaient utilisés dans le cadre des initiations, celles des adolescents ou celles des hommes mûrs devant développer leurs connaissances ésotériques et / ou techniques. D’autres – parfois les mêmes – intervenaient lors de cultes destinés à rendre hommage aux ancêtres, à assurer la fécondité des femmes, la fertilité des terres ou à soigner. [© Source texte: communiqué de presse / Visuel: Affiche] |
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