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Du Burkina Faso à L’Ethiopie et autres rencontres – Galerie Berthet-Aittouarès

27 mai 2015
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antoineschneck

Du Burkina Faso à L’Ethiopie et autres rencontres

D’Antoine Schneck

Du 28 mai au 4 juillet 2015
Vernissage jeudi 28 mai dés 18h

Galerie Berthet – Aittouarès
14 et 29, rue de Seine
75006 Paris
M° Louvre – Rivoli

www.galerie-ba.com 

Du 28 mai au 4 juillet 2015

La galerie Berthet-Aittouarès consacre, dans son nouveau lieu du 14 rue de Seine, sa troisième exposition à Antoine Schneck. Il revient d’Ethiopie avec une nouvelle série de portraits.

Si l’on retrouve ici ce qui fait déjà la qualité de son regard, une capacité rare à débusquer la vérité de l’homme, cette nouvelle série allie sur un mode nouveau, confrontation au monde et rencontre de l’art. Schneck est parti en Afrique à la recherche d’un homme.

Il a rencontré des corps peints, des corps ornés, des visages sculptés, entre masques et tableaux. Cette surprise de la beauté, c’est cela que Schneck nous propose aujourd’hui, tel un miroir où vient se perdre le spectateur.

Qu’il réponde à une commande des Monuments nationaux – actuellement à l’Arc de Triomphe où il redonne vie aux soldats de la 1e guerre mondiale à travers les photographies de leurs uniformes [Soldats inconnus, Arc de Triomphe, jusqu’en 2018], à la basilique Saint-Denis où il saisit toute la beauté de ces gisants figés dans la pierre [Les Gisants, Basilique cathédrale de Saint-Denis, 2011] – qu’il accepte une commande muséale en détournant, avec humour, le thème de la galerie d’hommes illustres en galerie de chiens illustres [Leur chien, Musée de la chasse et de la Nature, 2010], ou bien qu’il parcourt le monde en quête de visages à photographier, pour Antoine Schneck il est toujours question « de peau, d’enveloppe ».

Là est son sujet. Et c’est avec une précision toute particulière qu’il nous en livre chaque détail. Le fond noir est là, toujours présent, pour magnifier le sujet et l’affranchir de tout contexte susceptible de teinter la lecture du visage. La neutralité et la sobriété de ces portraits les rendent universels.

[source de texte et crédit visuel: dossier de presse] 

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