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Ce week-end à Paris… du 15 au 17 décembre

15 décembre 2023
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Mi-décembre, l’heure tourne ! Vous voulez assister à un concert, aller au cinéma, au théâtre, voir une exposition, mais les cadeaux de Noël ne sont toujours pas commencés ? Artistik Rezo a la solution : pour les cadeaux, nous contactons les lutins du Père Noël, et pour les sorties, reposez-vous sur notre sélection culturelle !

Vendredi 15 décembre

Dernier week-end pour découvrir l’exposition de l’artiste Bault Maxillaires au Cabinet d’Amateur

Dix ans après sa première exposition solo en galerie au cabinet d’amateur, Bault est de retour avec une série de sculptures sur bois. Ses personnages colorés aux figures primitives nous observent avec humour et dérision. Figure incontournable de l’art urbain, il explore toutes les techniques et tous les supports, de la fresque à la peinture d’atelier, au dessin et plus récemment à la sculpture. Dix années de recherche et de création, son travail en constante évolution nous emmène sur les chemins de l’Art brut et de l’Art tribal.

Exposition Maxillaires © Bault

 

 

 

Pour une sortie familiale remplie d’humour, de percussion et de recyclage, rien de tel que Trash!, le nouveau spectacle énergique du Théâtre 13 art.

Le spectacle se déroule dans un centre de recyclage d’ordures, où quatre travailleurs créatifs donnent une nouvelle vie à toutes sortes de déchets, montrant au public l’excès de consumérisme dans notre société. Bouteilles de butane, parapluies, ballons, boîtes à outils, cornes, sacs de bricolage… Ces gars-là vont tout transformer en sketches musicaux colorés avec pleins d’esprit et d’humour.




Vous l’attendiez ? Nous aussi ! Toutes les étoiles s’alignent pour Wonka, le nouveau film de Paul King avec Timothée Chalamet !

Découvrez la jeunesse de Willy Wonka, l’extraordinaire inventeur, magicien et chocolatier de l’univers féérique de Charlie et la chocolaterie de Roald Dahl, dans le film WONKA. Timothée Chalamet incarne ce jeune homme débordant d’idées et déterminé à changer le monde… avec gourmandise !
Avec Timothée Chalamet, Calah Lane, Keegan-Michael Key et Hugh Grant





Samedi 16 décembre

Le rendez-vous immanquable de la fin d’année, c’est le BAL qui s’en charge avec “À partir d’elle” !

Jusqu’au 25 février 2024, LE BAL présente une exposition dédiée aux regards posés par 25 artistes sur leur mère. Le corpus d’œuvres choisi, qui s’étend des années 1960 jusqu’à nos jours, revient sur les travaux notamment de Sophie Calle, Christian Boltanski, Michel Journiac, Anri Sala, Lebohang Kganye. Dépassant le pur témoignage d’une relation intime inévitablement singulière, ces œuvres sont construites à partir de dispositifs formels et conceptuels impliquant le corps, la figure ou le personnage de la mère dans le processus créatif. Qu’elles cherchent à incarner la réalité de la présence ou les effets de l’absence, toutes ont en commun de considérer la filiation comme une manière de repenser les relations archétypales, entre critique sociale, quête de soi, conjuration ou apaisement.




Restez dans les expos et rejoignez le Quai de la Photo pour le premier jour de l’exposition-hommage My Own Space de la photographe Kate Barry

Du 16 décembre 2023 au 20 mars 2024, Quai de la Photo souhaite lui rendre hommage à travers une rétrospective, l’occasion de faire découvrir l’œuvre parfois méconnue de Kate Barry pour le 10e anniversaire de sa disparition en 2013 à l’âge de 46 ans.
Cette exposition se propose de “montrer la diversité de son œuvre” explique Sylvain Besson, commissaire de l’exposition.
Les 80 photos occupent les deux niveaux de Quai de la Photo durant plus de 3 mois et s’articule en deux temps : du 16 décembre au 5 février puis du 7 février au 20 mars. L’occasion de découvrir toute l’étendue du travail de Kate Barry à travers ses projets emblématiques et ses thèmes de prédilection : les paysages mélancoliques, la mode, les portraits et notamment le regard qu’elle portait sur sa famille…

Laetitia Casta [pour Elle], 2 octobre 2000
Tirage sur papier au gélatino-bromure d’argent © Kate Barry

KaS Product et Tempomat se produisent ce samedi 16 décembre à la CLEF… de quoi se réchauffer, en dansant !

KaS Product, duo charismatique des 80’s, revient pour un nouveau tour de piste avec le projet “Reload”, où Mona Soyoc reprend en trio le projet pour faire résonner le son originel et intemporel du groupe. Ce sont les faux allemands de Tempomat qui ouvriront le bal avec leur musique synthétique, sur fond de vidéos de Derrick.

Besoin de frissons et d’émotions ? Profitez donc du Sergent-major Eismayer, nouveau film signé David Wagner, au cinéma !

Instructeur militaire à la « pédagogie » pour le moins musclée, Charles Eismayer ferait passer le sergent Hartman de Full Metal Jacket pour une crème. Mario, un nouvel arrivant à la caserne, refuse de se laisser intimider. Affirmant fermement son homosexualité, il tient tête ouvertement à Eismayer, mettant ainsi à l’épreuve la vision apparemment conservatrice du sergent-major, qui mène en réalité une vie secrète. Confronté à l’attitude provocante de Mario, Eismayer voit peu à peu ses convictions vaciller…


Dimanche 17 décembre

Pour les amateurs de comédie, l’excellente pièce Borderline se joue toujours au Théâtre de Passy !

Un fou tente de faire admettre à son psychiatre qu’il est guéri. Quand un fou tente de quitter son psy. Quand un psy tente de faire entendre raison à un fou. Qui est le chat  ? Qui est la souris  ? Lequel remportera la partie  ? Depuis 2017, les pièces de Flavia Coste (Non à l’argent !Alors on s’aime !…) ont rassemblé près d’1 million de spectateurs en France, à travers l’Europe et l’Amérique du Sud.




La photographie est mise à l’honneur avec “50 ans de Libération” aux Archives nationales, pourquoi ne pas en profiter ?

Les Archives nationales accueillent, dans la cour d’honneur de l’hôtel de Soubise, une exposition à l’occasion des 50 ans de Libération qui pour l’occasion, a fait don d’un fonds photographique important. Les photos exposées invitent à une déambulation, à travers le regard du quotidien, qui révèlent les coulisses ou les secrets des images. Huit unes grand format et 48 photographies de presse sont présentées de manière chronologique.

À l’occasion de l’anniversaire de sa création, Libération a choisi de donner aux Archives nationales la majeure partie des archives de son service photographique, afin de préserver son patrimoine documentaire, et d’y donner largement accès au public. En 50 ans, le quotidien a produit des dizaines de milliers d’articles et de photographies. De la mobilisation sur le plateau du Larzac à la guerre en Ukraine : Libération raconte le monde en images, offrant un espace d’expression aux hommes et aux femmes façonnant une certaine idée de la photographie de presse.

Une Idée géniale, le grand succès du Théâtre Michel, a tout ce qu’il faut pour finir votre week-end en beauté…

Depuis qu’ils ont visité un appartement pour s’installer ensemble, Arnaud a un léger doute : Marion a-t-elle eu un coup de cœur pour l’agent immobilier ? Par pur hasard, il rencontre le sosie de celui-ci et lui demande de se faire passer pour le véritable agent immobilier. Une idée géniale ! À moins que le faux agent se retrouve nez à nez avec le vrai… Et qu’un frère jumeau débarque à l’improviste. Trois sosies dans la même soirée, c’est trop pour Arnaud ! Spectacle couronné de deux Molières 2023, dont celui de la Comédie.





Pour accompagner ce week-end en musique…

C’est avec Ivy de baby hayabusa

Inspiré de Ryu Hayabusa, principal protagoniste de la série de jeux vidéo Ninja Gaiden, FEMTOGO était – fut un temps – très actif sous le nom de baby hayabusa sur SoundCloud. Plus sensible, émotif, le rappeur  dévoilait notamment la série BOZOFLOW, puis mr.ledger_1 et mr.ledger_2l’OST d’[s]a mort sur un sample de Weird Fishes/ Arpeggi de Radiohead.

Sur Deadly Poison Sting, baby hayabusa écrit une peine d’abord rétrospective. Mais il parle surtout d’une femme, qu’il appelle “Ivy” et qui revient dans tous les morceaux, notamment le dernier, dont elle est le titre. Deadly Poison Sting est un récit : celui d’un  homme qui a goûté au pire, et qui essuie un (premier ?) chagrin d’amour. C’est aussi le premier disque de baby hayabusa qui sort sur les plateformes.

“Une chose est sûre, rien ni personne ne m’empêchera de vouer mon âme à la musique, écrit baby hayabusa sur Instagram lors de la sortie de Deadly Poison Sting. Plus le temps passe, plus je me rends compte que mes  récits vous ont touché (…). Si ma musique peut vous soulager ou vous donner du courage, alors  j’en suis le plus heureux du monde”




 

Artistik Rezo vous souhaite un bon week-end !

 

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