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A Sète, le K-Live s’expose aussi au Réservoir !

Pour cette nouvelle édition, le K-Live et le Réservoir s’associent dans le cadre d’une exposition dédiée à l’art urbain, présentant une vingtaine d’artistes. Cette exposition débutera en parallèle du festival, et sera visible du 5 juin au 28 juillet 2019.

Line-up : Andrea Ravo Mattoni | Aujuste le Juste | Bault | Clet Abraham | Enaer |Goddog | Jerk 45 | Koralie | Madame | Matthieu Dagorn | MonkeyBird | Pablito Zago | Quentin DMR | Romain Froquet | Ratur | Sckaro | Spogo | Supakitch | Théo Lopez | Zeklo

ANDREA RAVO MATTONI
Andrea Ravo Mattoni choisit de reproduire des œuvres de 1200 à 1800, de Giottino à Delacroix. De la même façon que les copistes, il propose le même sujet plusieurs fois, afin de faire perdurer la force de l’œuvre.

AUJUSTE LE JUSTE
L’univers d’Aujuste le juste se construit autour de l’urbain, ses cultures et ses usagers. Il tire différents codes afin de composer ses illustrations, afin de mettre en avant les petites gens en jonglant entre le burlesque ou le tragique. Ses travaux se nourrissent d’inspirations diverses comme le graffiti, l’imagerie punk ou plus récemment de différents courants picturaux comme le réalisme ou l’orientalisme. Les images qu’il compose recherchent le dégradé, le graphisme ou la variation des traits à travers le noir et blanc.

BAULT
Bault est un artiste incontournable de la scène urbaine actuelle. D’origine aveyronnaise, il vit et travaille actuellement à Paris. Passionné d’art brut et de dessins d’enfants ; son œuvre est empreinte d’un réalisme détourné.
Son intérêt se porte également sur les pratiques artistiques brésiliennes et plus particulièrement sur la technique de la pixaçao : mélange de tags et de recherches typographiques.

CLET ABRAHAM
Clet Abraham n’est pas à proprement parler un street-artist, mais il a depuis peu ressenti le besoin d’une expression artistique développée au sein de la vie quotidienne.
Partout où il passe, il colle de petits bonshommes noirs qui ajoutent un supplément d’âme aux panneaux routiers, un peu de folie douce ou de poésie pure.

ENAER
Le travail d’ENAER est orienté sur des portraits ou personnages au style graphique, qui prennent vie grâce à son geste précis, au trait brut sans retouche laissant apparaitre les traits de constructions.
La multiplication d’outils et de matières lui permet de diversifier les techniques dans un univers urbain et original.

GODDOG
Des fresques à grande échelle aux toiles exposées en galeries, lignes et formes dévoilent des mondes imaginaires où se dissimulent paysages, visages et symboles.

JERK 45
À travers un univers fantasmagorique, coloré et foisonnant, Jerk nous conduit dans les tréfonds de son imaginaire, réussissant à y conjuguer tout l’esprit caustique de ses années punk, son enthousiasme ému pour les seventies et les fêlures de l’enfance.

KORALIE
L’élégance du travail si singulier de KORALIE se traduit par une recherche d’équilibre graphique et ethnique qui entrelace géométrie architecturale (symétrie, répétition) et organique (tressage, tissage).
Ses techniques, ses supports et ses outils varient selon son message et ses projets : peintures sur toiles ou murales, sculptures en bois et tissages, dessins vectoriels, installations, vidéos…

MADAME
MADAME (moustache) travaille de vieux documents et vieilles photographies du siècle dernier jusqu’aux années 50/60, pour en refaire de nouvelles images, plus contemporaines.
Une fois ces collages petits formats finalisés, ils sont scannés pour être imprimés en très grand format et apposés dans la rue, afin d’offrir aux passants une porte ouverte vers un imaginaire décalé et ludique.

MATTHIEU DAGORN
Voulant quitter l’univers plat d’un mur ou d’une toile, Matthieu Dagorn utilise des bandes de papier torsadées, du bois et du plastique pour montrer le mouvement et donner vie à la forme.
Grâce à cela, chaque angle présente un point de vue différent sur l’œuvre.

MONKEY BIRD
Association d’artistes retranscrivant des thèmes sociaux en fables murales, par la représentation d’animaux-totems dotés d’une symbolique anthropique.
Les monkeybird encouragent l’homme à trouver un juste équilibre, entre ses obsessions matérielles et ses fantasmes de liberté, afin de se construire en tant qu’animal social.

PABLITO ZAGO
Originaire d’Avignon, Pablito Zago est autodidacte et pluridisciplinaire : street artist, illustrateur, graphiste et musicien.
On retrouve dans son travail une grande part d’abstrait et une symbolique très personnelle et très onirique.

QUENTIN DMR
Quentin DMR art se définit comme un “photographe- plasticien”, deux termes qui s’opposent et se rejoignent.
Il expérimente, détourne, réoriente le regard.

ROMAIN FROQUET
Influence africaine, formes géométriques et profusion de lignes, Romain Froquet compose un langage pictural bien singulier, reflet de son subconscient.

RATUR
Le travail figuratif de RATUR interroge sur les relations qu’entretiennent les artistes issu du graffiti et les grands genres picturaux classique.
Ses influences très européennes tournent autour de la peinture classique, du graphisme et du graffiti.

SCKARO
Le Travail figuratif de SCKARO (Oscar Maslard), interroge sur les influences des grands genres picturaux classiques dans la peinture moderne souvent issue du «street art».

SPOGO
L’objectif de SPOGO est que ses œuvres s’intègrent dans l’architecture des bâtiments. Il cherche un résultat esthétique dans lequel les formes et les couleurs respectent le bâtiment et son environnement.

SUPAKITCH
Elevé aux mangas et à la culture hip-hop, passionné par la board culture avec le dessin comme moyen d’expression de prédilection depuis l’enfance, SupaKitch trouve dans la rue une richesse de supports lui permettant de s’épanouir dans son travail.

THEO LOPEZ
THEO LOPEZ puise son inspiration entre l’Expressionnisme Allemand, le Constructivisme Russe et l’Abstraction Lyrique européenne. Il concentre ses recherches dans le domaine de l’abstraction et élabore une poésie dans le travail de la matière, de la ligne et de la couleur.

ZEKLO
Flo aka Zeklo est un artiste peintre tatoueur ayant débuté par le graffiti au début des années 2000.
Largement influencé par ce mouvement et ses acteurs, il se construit un style figuratif proche de l’illustration inspiré par l’univers de la rue, l’iconographie du tatouage et des mouvements plus anciens comme la gravure.

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