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Converse investit le Canal de l’Ourcq avec un nouvel espace dédié à la création artistique

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Clashwall Converse Paris

Avec Alëxone, SupaKitch et Thomas Lamadieu

Pavillon des Canaux
39, quai de Loire
75019 Paris
M° Riquet ou Laumière

Du 10 mai au 8 juin 2014

Depuis le 10 mai 2014 les artistes Alëxone, Supakitch et Toons ont habillé le Pavillon des Canaux en s’inspirant de l’iconique Chuck 70 et en travaillant sur les camaïeux de couleurs des modèles originaux de cette sneaker.

Partie d’un projet plus large, Sneakers Clash, qui investit 16 villes en Europe, Moyen Orient et Afrique, apporte l’esprit coloré et décalé de la Chuck 70 dans un monde gris. « Nous sommes heureux d’amener Converse Sneakers Clash en Europe » dit Rodney Rambo, VP Marketing, Converse All Star. « La Chuck Taylor a été depuis toujours le support parfait pour s’exprimer librement et nous espérons qu’elle continuera à inspirer de nouvelles personnes à ajouter une touche de couleur où il y en a le plus besoin ».

Véritables références dans le monde de l’art, Alexöne et Supakitch donnent vie pour Converse à un projet participatif, le Wall of Clash, qui permettra au public d’interagir avec les artistes et de voir réalisées et réinterprétées leurs inspirations. Il suffira de les tweeter avec le #clashwall pour avoir une chance de les voir sur les façades et dans les pièces du Pavillon des canaux.

Dans le cadre de Sneakers Clash, comme l’artiste Katre l’avait fait entre le 10 et le 12 avril dernier, un Photo Clash sera organisé du 22 au 24 mai 2014 avec Thomas Lamadieu. Il sera possible d’envoyer des photos via twitter les 22 et 23 mai en utilisant le @converse #clashmyphoto. Le 24 mai, Thomas Lamadieu rencontrera le public pour customiser en live les photos. Les clichés les plus inspirants seront sélectionnés et réinterprétés par l’artiste.

Le Pavillon des Canaux intégralement réinterprété sera exceptionnellement ouvert au public du 1er au 8 juin 2014.

Converse_investit_le_Canal_de_lOurcq_avec_un_nouvel_espace_dedie_a_la_creation_artistique2Les artistes

Alëxone

Découvre le graffiti au début des années 90. A partir de 2000, il développe sa technique sur papier et sur toile tout en continuant à explorer les territoires urbains avec son écriture et ses personnages surréalistes. Certains le considèrent aujourd’hui comme un des artistes les plus importants de sa génération. Les institutions le saluent avec entre autres une exposition au Centre Pompidou en 2008. La Fondation Cartier pour l’Art Contemporain lui réserve une place de choix à l’occasion de la rétrospective « Né dans la Rue », en 2009. Il intègre la Galerie Le Feuvre en 2011 et participe en 2013 au projet de la Tour 13.

SupaKitch

Né à Bagnolet en 1978. Vit à Paris. Travaille entre Paris, Biarritz, Los Angeles et New York.
Compositeur de mélodies graphiques, SupaKitch compose avec les couleurs comme un musicien avec les notes pour peindre des mélodies graphiques et poétiques aux influences asiatiques et pop-ramantique. Les Supanimals peuplant ses peintures se décomposent peu à peu en bass-line de fourrure, sample de plumes, flow de nuages et solo de guitare arc-en- ciel qui se mêlent aux lyrics caligraphiés créant ainsi des symphonies pour les yeux.

Un travail conceptuel et esthétique baptisé « Listen To My Picture »
Ces premiers graffitis remontent à 1992. Il expose aujourd’hui dans le monde entier. SupaKitch signe sa première exposition personnelle en 2007, date à laquelle il intègre la prestigieuse Galerie Elegance à Taipei au côté d’artistes comme Pierre Soulage, Combas, Georges Mathieu pour ne siter qu’eux.

Thomas Lamadieu

Artiste autodidacte, Thomas Lamadieu se taille rapidement une belle place sur internet où il publie ses photographies et ses dessins. Ses oeuvres commencent ainsi à circuler de manière virale et de nombreux galeristes, journalistes, amateurs d’arts remarquent et saluent son travail. Il propose plusieurs expositions telles que le « Tranoï » en 2013 et en 2014 une exposition à Hong Kong pour le French May.

Sa démarche artistique a pour but de montrer une autre perception de l’architecture urbaine et l’environnement quotidien qui nous entoure, d’inventer avec une imagination sans limite ce que le ciel peut nous montrer entre quatre rue, de jouer avec les formes pour pouvoir faire vivre le vide.

[Crédits photographiques: ©Converse] 

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